Madame
Laurence Sendrowicz
28 passage Charles-Dallery
75011 Paris
France Fixe : 01 43 48 67 51
Mobile : 06 73 54 43 36
Email : sendroLF@gmail.com
Web : page Facebook : Compagnie Bessa
Langues
Hébreu FrançaisSpécialités
théâtrelittérature générale
policier
audiovisuel sous-titrage
jeunesse
Bibliographie
Zeruya ShalevMari et FemmeEditions Gallimard
Ishaï SaridLe Poète de GazaEditions Actes Sud
Autres publications
Lily la Tigresse de Alona Kimhi édité par Gallimard, 1948 de Yoram Kaniuk édité par Fayard, Meurtre au Philharmonique de Batya Gour édité par Fayard
Formations
Théâtre - Comédienne
Autres activités professionnelles
LAURENCE SENDROWICZ quitte la France après son bac, elle reste treize ans en Israël où elle devient comédienne, puis commence à écrire pour le théâtre De retour en France, elle devient traductrice de théâtre et de littérature hébraïque contemporaine tout en poursuivant, en parallèle, son travail d’écriture dramatique.
Elle a traduit plus d’une trentaine de romans de littérature israélienne contemporaine, ceux, entre autres, de Batya Gour, Yoram Kaniuk, Alona Kimhi, Dror Mishani et Zeruya Shalev, dont Mari et Femme (prix Amphi 2003) et Ce qui reste de nos vies (prix Femina Etranger 2014).
En 2012, elle obtient le Grand prix de traduction de la SGDL.
Soutenue par la Maison Antoine-Vitez, elle initie avec Jacqueline Carnaud le projet de traduction du théâtre de Hanokh Levin en français dont elle a traduit, depuis 1991, une trentaine de pièces (dont cinq en coll avec J. Carnaud), publiées aux éditions Théâtrales.
En 2005, elle met en scène au théâtre de la Tempête Que d’Espoir !, un spectacle de cabaret qu’elle a adapté à partir de textes courts et de chansons de Hanokh Levin.
En 2008, elle obtient le soutien de la fondation Beaumarchais-SACD pour l’écriture des Cerises au kirsch, itinéraire d’un enfant sans ombre, qu’elle interprète seule en scène en 2011, spectacle créé au théâtre de la Vieille Grille puis en tournée.
En 2014, elle remonte sur les planches et crée Faute d’Impression, une histoire de traductrice..., un texte soutenu par le CNL, qu’elle a écrit et interprète seule en scène à la Manufacture des Abbesses.
En 2017, elle écrit le troisième volet de sa trilogie familiale Ma Mère voulait, qu’elle interprète, toujours dans une mise en scène de Nafi Salah. Le spectacle, conçu pour être joué hors les murs, a été crée dans Notre-Atelier.
En mai 2018, elle reçoit le prix Bernheim pour la littératurele et en juin 2018 le prix de la traduction/adaptation de la SACD conjointement avec Jacqueline Carnaud.
En novembre 2018 parait aux Editions Caractères sa trilogie théâtrale : Les Cerises aux kirsch / Faute d'impression/ Ma mère voulait